Le soleil brille pour tout le monde

by on March 15, 2012
in Changer les règles

La promesse d'un jour pas comme les autres

Le soleil est de retour. 🙂

Je ne sais pas si c’est quelque chose d’habituel en France mais ici, à Albi, nous avons déjà 24 degrés de température. Ça me change du Japon !

Pour fêter ça, je vous offre un petit cadeau (voyez plus bas).

Et puis, lorsque je marche dans les rues, je vois déjà les terrasses pleines de touristes locaux profitant de ces premières journées ensoleillées. Également de l’inédit à Tokyo. 😉

C’est étonnant mais on sent déjà l’effervescence qui monte. La sève de la vie qui renait. Cette envie de sortir, de courir, de bondir, de sourire, de dire bonjour aux filles (sinon à quoi ça sert les terrasses ?), de jauger les garçons (sinon à quoi ça sert, etc.).

C’est comme une soif de vivre qui nous prend à la gorge.

Et vous ? Vous la sentez aussi ? Cette énergie qui vous donne envie de vous sentir vraiment vivant ?

Comment allez-vous réagir, face à elle ?
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Como el viento (3)

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(Comment acheter cette histoire complète ? Voyez plus bas. Ceci est la troisième partie d’une nouvelle qui a commencé ici)

Oui, comment résister ?

J’ai avancé ma main mais, au dernier moment, mon père l’a attrapée silencieusement, m’écrasant les doigts dans sa grande main, avant que je ne commette l’irréparable.

Un jour, plus tard, cette même montre tombe en panne, due aux traitements de choc que je lui faisais subir et je viens donc la récupérer chez notre joailler, après réparation. Monsieur Hubert met un genou à terre, attache la montre à mon poignet et place à nouveau son crâne immaculé juste au niveau de mes yeux. La tentation est grande mais le souvenir de mes doigts écrasés par la main paternelle m’empêche d’agir.

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Como el viento (2)

On the road again...
(Comment acheter cette histoire complète ? Voyez plus bas. Ceci est la deuxième partie d’une nouvelle qui a commencé ici)

Je marche sur la départementale 406.

Pas pour longtemps. A peine quelques pas et me voilà en Espagne. En fait, j’emprunte maintenant la NA-4432. A prononcer avec l’accent espagnol.

Ça ne change pas grand chose.

Le silence est toujours aussi dense. Je marche entre deux murs d’arbres verts et touffus au-dessus desquels trône un ciel d’azur. Et toujours ce vent léger qui emporte les chants d’oiseaux.

Au loin, j’entends un chien qui aboie.

Je continue et je respire.

Soudain je m’arrête. J’avais déjà tout oublié ! Ma femme, mes filles, le boulot et Paul le Brésilien.
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