Où se cache votre étoile ?

Par le 8 November 2010
dans Changer les règles

Les étoiles tournent et la nôtre aussi, si on le veut bien !

Cet article est le onzième et dernier d’une série, Les génies que nous sommes, qui a commencé ici.

(Je sais, ça fait beaucoup d’étoiles dans mes titres d’articles mais à force d’écrire sur le sujet, je commence à en voir partout !)

Lewis Terman était un psychologue américain, professeur à l’université de Stanford, qui s’était spécialisé dans l’éducation des enfants. Au début du XXe siècle, il eut la conviction que les enfants surdoués étaient des enfants comme les autres, alors qu’à cette époque-là, on les pensait asociaux et bizarres. Terman se mit alors en tête de prouver le contraire.

Ainsi, il débuta une étude scientifique qui – sans qu’il le sache – allait devenir la plus longue jamais effectuée dans l’histoire des sciences humaines.

Dis-moi ton QI

Mais pour que Lewis Terman puisse commencer cette étude, il lui fallait un outil fiable afin de déterminer l’intelligence des enfants et, c’est un Français qui vint à son secours.

Alfred Binet, un pédagogue et psychologue, avait dès 1905 créé un test qui permettait d’évaluer le développement de l’intelligence des enfants, un test qui fut modifié et qui, plus tard, devait devenir le célèbre QI.

Le but de ce test, pour Binet, était de découvrir quels enfants avaient du retard dans leur développement et de les aider, par un programme adapté, à rattraper le reste de la classe.

Lewis Terman lui, l’utilisa dans un tout autre but, celui de trouver quels enfants avaient les meilleures aptitudes et ainsi de les suivre à travers leur scolarité et leur vie d’adulte.

Juste après la Première Guerre mondiale, il fit tester des dizaines de milliers d’élèves californiens et, commença ainsi à distribuer ses “étoiles”. Il sélectionna environ 1500 enfants ayant un QI supérieur à 140, les suivit régulièrement et analysa leur parcours au fil de leur vie.

Ainsi, des rapports très précis sur ses sujets furent dressés en 1921, 1924, 1928, 1936, 1940, 1945, 1950 et 1955, Lewis Terman décédant l’année suivante. Ses assistants prirent la relève et analysèrent le groupe en 1960, 1972, 1977, 1982 et en 1986.

De nos jours, c’est assez incroyable mais environ 200 enfants, ayant maintenant tous plus de 80 ans, sont encore vivants et continuent à être suivis par l’université de Stanford, qui a promis de continuer l’étude jusqu’au décès du dernier.

Il est à noter que parmi ces “petits génies” rassemblés par Terman pas un seul ne parvint à remporter un prix Nobel par exemple, ce qu’on aurait pu attendre d’un pareil groupe. Par contre, deux autres enfants, William Shockley et Luis Alvarez, qui passèrent aussi le test mais ne purent rejoindre cette “élite” pour cause de QI trop bas, obtinrent eux le Nobel de physique, respectivement en 1956 et en 1968.

Et puis, un des aspects intéressants que revêt cette longue étude est dans la recherche effectuée par Melita Oden, une assistante de Terman. En 1968, elle compara au sein de ce groupe, les professions des 100 personnes ayant le plus de succès dans leur travail aux 100 en ayant le moins. Ce qui la surprit, fut que les résultats s’avérèrent identiques à une étude réalisée chez les personnes qui ne faisaient pas partie de ce groupe, c’est à dire ayant un QI moyen. Les professions étaient les mêmes.

En fait, dans les deux cas, ce qui avait vraiment déterminé le succès avait été les encouragements de la part des proches, la persistance et la confiance en soi.

La génétique fait son retour

Justement, cette confiance en soi, cette habilité à croire que l’on va réussir quelque chose a été quelque peu secouée récemment par deux scientifiques du King’s college de Londres.

En 2009, Corina Greven et Robert Plomin, étudiant 3700 paires de jumeaux dont des vrais jumeaux – qui partagent exactement le même matériel génétique – et des faux jumeaux – qui eux sont complètement différents – , ont noté l’importance de l’hérédité dans le niveau de confiance en soi que l’on peut posséder.

Bien entendu, cela ne veut pas dire qu’elle n’évolue pas ensuite. Tout dépend de l’environnement et de ses circonstances. Exactement comme l’avait découvert Melita Oden dans son étude de 1968.

Alors que faire et que penser ? Sommes-nous juste 23 paires de chromosomes – nos étoiles – qui nous sont distribués au moment de notre naissance et qui nous prédestinent à aller dans certaines directions ?

Peut-être qu’un jour la science le confirmera. Peut-être pas.

En attendant, malgré les études prouvant un certain héritage de la confiance en soi ou de l’intelligence, en avoir des tonnes lorsque l’on nait ne veut pas dire qu’on va automatiquement réussir à avoir une vie fantastique.

Une histoire simple

Prenez deux enfants.

Faites grandir l’un dans un milieu blanc, aisé, avec des parents qui l’encouragent à développer sa curiosité. D’un QI très élevé, il rentre dans l’une des plus prestigieuses universités américaines, Harvard, obtenant plus tard un doctorat en mathématiques.

Maintenant, prenez l’autre enfant. Faites-le grandir dans une famille noire américaine modeste où sa mère l’abandonnant et son père finissant en prison, il survit, vivant chez sa grand-mère, ses études restant en jachère. Adolescent, il est à la fois petit cambrioleur et dealer de drogue.

Lequel des deux va réussir dans la vie ?

Lequel des deux va faire briller son étoile le plus haut ?

Le premier garçon s’appelle Ted Kaczynski, surnommé Unabomber, il purge maintenant une peine de prison à vie pour des attentats à la bombe qu’il a perpétrés sur le sol américain.

Le second s’appelle Roland Fryer, il a aussi obtenu un doctorat, mais en économie et, à 30 ans, il est devenu l’un des plus jeunes professeurs titulaires de, justement, l’université de Harvard.

Ce cas passionnant, cité dans le livre Freakonomics de Steven Levitt et Stephen Dubner est juste un exemple, de ce que nous, êtres humains, pouvons accomplir, en bien ou en mal.

Un exemple qui devrait nous donner plus de confiance en nous, car nous faisant comprendre que, dans la vie, tout est réellement possible.

La piste aux étoiles

Et si, après cette série de 11 articles et tous les exemples que je vous ai décrits, vous me dites : “Mais, je n’ai pas de bonne étoile, moi !”, là, je ne peux plus grand chose pour vous.

Car ce n’est pas vrai.

Nous avons tous et toutes une étoile en nous.

Hérédité ou pas, éducation ou pas, nous avons tous la possibilité d’aller plus loin que nous l’avons fait jusqu’à aujourd’hui. Je pense que nous pouvons tous faire mieux si nous le désirons et là, au-delà des méthodes, des statistiques, il y a surtout notre désir de faire briller cette étoile qui ne demande qu’à étinceler.

Lorsque nous regardons un film où des personnages vont au-delà de ce que la vie quotidienne leur a servi, où ils décident de dire stop et de changer leur condition, où ils osent affronter leurs peurs et le grand inconnu, souvent  des larmes apparaissent aux coins de nos yeux.

Pourquoi pleurons-nous à ce moment-là ? Après tout, ce n’est qu’un film que nous regardons et il n’y a pas à devenir si sensible pour des événements qui ne sont que des images sur un grand écran.

Et pourtant, nous pleurons.

Nous pleurons discrètement essayant de contrôler cette larme qui grossit sous la paupière et qu’on ne veut pas laisser rouler sur la joue. Ou alors, on la laisse aller, suivre son cours et rouler puis, nous l’attrapons dans un mouchoir en papier. Avant d’en arrêter une autre et encore une autre.

Je pense que nous pleurons parce que ce que nous voyons sur l’écran, c’est nous.

C’est nous et toutes les possibilités que nous pourrions devenir. C’est nous et toutes les actions que nous n’avons pas accomplies parce que nous avons hésité, parce que nous avons dit non aux aventures – aussi petites soient-elles – qui nous étaient proposées.

Nous pleurons parce que finalement cet acteur qui décide de prendre un risque, cette actrice qui décide de choisir son destin, ce ne sont que nos alter-egos, nos autres “nous”, tous ceux et toutes celles que nous n’avons pas encore été ou que nous pourrions devenir.

JD Salinger, l’écrivain américain décédé en Janvier 2010, avait écrit dans une de ses nouvelles, ou un frère ainé prodiguait des conseils à son cadet, “S’il te plaît, suis ton cœur, ou bien perds tout.”

C’est un peu la même chose pour nous. Nos larmes sont peut-être nos rêves en train d’être perdus, en train de disparaitre si nous n’agissons pas.

Une étoile vit en nous, et plus on pleure, plus elle s’éteint.

Pourtant, à tout moment, tout au long de notre vie nous pouvons la faire briller à nouveau et la montrer, l’offrir au regard des autres. Nous pouvons la faire monter très haut. Car collectivement, toutes ces étoiles qui brillent sont tout ce que nous pouvons offrir à nos familles, à nos amis et aux générations futures.

Si nous n’en étions pas capables, nous ne pleurerions pas.

Nous le pouvons. Intérieurement nous le savons.

Alors retroussons-nous les manches.

Maintenant ou demain.

Le firmament n’est pas aussi distant qu’il n’y parait.

(Photo : Kyle Kruchok)

Commentaires

38 commentaires pour “Où se cache votre étoile ?”
  1. RemV says:

    Un très très bel article et j’aime beaucoup l’exemple de Harvard.
    Des articles comme ça (surtout un lundi matin) ça remonte bien le moral et ça nous donne envie de faire pleins de choses (un peu comme la vidéo: everything is possible).
    Merci beaucoup

  2. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup RemV ! J’ai manqué ton commentaire et je te remercie donc, avec un peu de retard, pour les compliments. Et puis, bonne continuation pour ton propre récit. 😉

  3. Nathalie says:

    quand on veut, on peut…
    merci beaucoup Jean Philippe pour cette très enrichissante série.

  4. Jean-Philippe says:

    Merci à toi Nathalie pour ton soutien indéfectible ! Oui nous pouvons, si nous le voulons et si le but s’aligne sur nos profonds désirs. 🙂

  5. Coumarine says:

    Jean-Philippe, moi j’ai été émue à te lire dans ce billet de ce matin!
    envie de te donner un témoignage perso
    Mon “étoile” je n’y ai cru que très tard dans ma vie, à cinquante ans passés…
    Un jour je me suis dit: c’est maintenant ou jamais!
    Et j’ai commencé à me lancer dans ma passion depuis toujours, mais restée en veilleuse de par les circonstances de la vie: L’ECRITURE
    J’ai suivi la formation pour devenir animatrice d’écriture… j’enseigne à l’université actuellement, et je coache des gens intelligents, qui semblent contents de travailler avec moi…
    J’ai commencé à écrire des nouvelles, j’ai remporté des prix qui m’ont donné confiance en moi, en ma façon d’écrire
    J’ai écrit, mis en scène et interprété des lectures spectacles…
    J’ai ouvert un blog, qui partant de rien, est actuellement lu et commenté abondamment…
    Et enfin à 60 ans j’ai publié trois livres, participé à deux autres, et pas de raison de m’arrêter ;-))
    Je ne suis pas en train de me vanter, je pense que tu me crois
    Mais simplement de dire ici que si je m’étais arrêtée à la phrase tentatrice qui se moquait de moi et de mes désirs profonds (mais, ma vieille, c’est TROP TARD!!!) je n’aurais rien fait de tout ça…
    Voilà! J’essuie la petite larme qui a coulé là, en te lisant et en me souvenant de mon parcours…
    Bonne journée à toi

  6. Jean-Philippe says:

    Merci infiniment Coumarine pour ce témoignage très personnel.

    Non seulement tu nous apportes une nouvelle preuve de ce qu’il est possible de faire à tout âge, mais en plus ton histoire va, j’en suis certain, encourager d’autres à se poser des questions, à réévaluer leurs choix de vie et, peut-être à changer des aspects de leur existence qui ne leur conviennent pas. En plus, à un niveau personnel tu me donnes aussi un coup de boost !!

    Mais alors Coumarine, je me demande jusqu’où va bien t’emmener ton étoile qui, jour après jour, brille de plus en plus haut. 😉

  7. Noé says:

    Magnifique billet, très très encourageant… Merci Jean-Philippe, vraiment.

    Coumarine ton témoignage est excessivement motivant!!! Moi-même à 20 ans il m’est arrivé parfois de penser qu’il était trop tard pour atteindre mes rêves! Je suis sidéré par ton histoire! Comme quoi il n’est vraiment jamais trop tard…

    Là je commence ma semaine avec une motivation à 200%!

  8. Jean-Philippe says:

    Merci à toi Noé ! Et je suis très heureux que le témoignage de Coumarine te donne une telle motivation mais je ne suis pas étonné. 😉

  9. Nathalie says:

    Merci à Coumarine de son témoignage. C’est très motivant.
    J’aimerais juste savoir ce qu’elle a fait comme étude avant ses 50 ans.

  10. Coumarine says:

    Merci pour vos mots…
    J’ai fait une licence littéraire, j’ai enseigné pendant peu de temps
    Puis j’ai arrêté pour élever mes cinq enfants
    heureuse de l’avoir fait, mais frustrée de ne pas avoir écrit, comme j’en rêvais!
    Et donc, les enfants une fois grands, je me suis dit
    c’est maintenant ou jamais…
    Voilà!

  11. eva says:

    excellent article qui est très motivant. Tout est possible quant on en a l’envie

  12. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup pour les compliments eva ! Oui, si on le veut vraiment, on peut faire bouger les choses. Peut-être tout doucement au début mais, l’effet de levier, au bout d’un moment, devient irrésistible. 😉

  13. Noé says:

    Coumarine j’imagine que pendant toutes ces années tu as énormément lu et que cela t’as servi en quelque de sorte de pratique délibérée (observation inconsciente des procédés d’écriture etc). Je me trompe? Si c’est bien le cas, quels genres de livres lisais-tu, à quelle fréquence? Je te pose ces étranges questions car l’écriture est aussi quelque chose qui m’intéresse…

  14. Nathalie says:

    Encore bravo Coumarine 🙂 C’est vrai que c’est pas évident d’élever nos enfants et de concilier avec une vie professionnelle, j’ai personnellement “seulement deux enfants” et je n’arrive jamais à me mettre à fond dans une autre activité. J’avoue que j’ai peur qu’ils me le reprochent un jour.
    Je commence quand même à penser un peu à faire des choses différentes maintenant 😉
    Et ceci en partie, grâce à Jean Philippe 🙂

  15. Coumarine says:

    @Noé… les questions que tu poses sont très pertinentes
    Oui, quand on désire écrire, la lecture fait partie de ce que Jean-Philippe appelle “la pratique délibérée”
    Vouloir écrire sans lire… c’est comme vouloir faire de la randonnée sans chaussures
    Lire quoi? de tout, auteurs et styles différents. On se fait ainsi peu à peu une opinion bien plus approfondie que de simplement dire “j’aime!” ou “j’aime pas”!
    Lire un livre par semaine… ou minimum deux ou trois par mois…
    Et puis ECRIRE
    Dix minutes par jour, n’importe quoi, mais ECRIRE
    Ecrire ne tombe pas du ciel, comme les gens le croient trop souvent, il y a des “gammes” à faire, pour arriver à interpréter la musique…
    J’espère n’avoir pas envahi ton espace, Jean-Philippe, en répondant à la question de Noé

  16. Noé says:

    Coumarine merci pour cette réponse pratique. Je retiens tes deux conseils : lire un livre par semaine et écrire 10 minutes par jour!
    Je ne pense pas que tu envahisses l’espace de Jean-Philippe, au contraire je pense que ça peu intéresser les autres internautes. On est ici pour parler des recettes du succès n’est-ce pas?

  17. Jean-Philippe says:

    @Noé Et comment ! Tu as parfaitement raison. 😉 D’autant plus que tu parles à une experte, car si mon écriture s’améliore, Coumarine y est pour beaucoup. Ces jours-ci, elle me guide et me fait faire des exercices qui améliorent mon style et ma créativité. Je peux te garantir qu’elle sait trouver les mots justes pour que je progresse. Quand tu te sentiras prête, je te recommande absolument de faire un stage avec elle. 😉

    @Nathalie Ça vient tout doucement ! c’est bon ça. Et puis, franchement, je ne vois pas pas qu’est-ce que tes enfants pourraient te reprocher en voyant leur mère épanouie; au contraire, ils seront très fiers. 🙂

  18. Noé says:

    Jean-Philippe, Noé est un prénom masculin… Mais je ne t’en veux pas! :D.

  19. Jean-Philippe says:

    Vraiment désolé !… mais tu peux écrire quand même. 😉

  20. Nico says:

    Un double merci à toi Jean-Philippe ainsi qu’à Coumarine.

    Cet article est tout simplement superbe, au point de raviver la lumière de nos étoiles 🙂
    Ajoutez à cela, le remarquable témoignage de vie de Coumarine et la motivation repart illico.

    Merci Jean-Philippe pour tout le travail de recherche effectué pour cette série. Personnellement, ces articles ont ouvert mon horizon vers de nouvelles perspectives.

  21. Merci Jean-Philippe pour ce magnifique article superbement relayé par le témoignage de Coumarine !
    Je te suis à fond quand tu dis :”collectivement, toutes ces étoiles qui brillent sont tout ce que nous pouvons offrir à nos familles, à nos amis et aux générations futures.” J’aime penser que nous nous devons de faire briller nos talents et transformer nos rêves en réalisations pour faire tâche d’huile et entraîner d’autres à faire de même. Tu nous entraîne tout à fait là-dedans avec ta très belle série d’articles.
    As-tu déjà imaginé comment sera le monde quand chacun de ses habitants y fera ce qui est vraiment important pour lui ? J’espère que je serai encore là pour voir ça !…:)

  22. Jean-Philippe says:

    @Nico Merci beaucoup pour tes compliments ! Nous allons de l’avant et nous défrichons les terres nouvelles de la connaissance, pour le plus grand bénéfice de tous. 🙂 (pas très modeste ce que je viens de dire, là)

    @Sophie Belle image ! Oui, tu as raison, je n’ai jamais pensé à faire cet exercice. Comment sera la planète lorsque chacun et chacune y fera briller son étoile ? 😉

  23. Nico says:

    @JP : J’aime beaucoup cette vision Indiana Jones à la recherche de nouvelles connaissances 😉

  24. Jean-Philippe says:

    Merci Nico ! Oui c’est un peu l’image que j’ai parfois. Non pas parce que nous autres dans le DP nous soyons des êtres à part. Ce que nous faisons ou disons, tout le monde le sait plus ou moins. Mais parce que nous le présentons à notre façon, cela touche plus certaines personnes qui ainsi peuvent avancer et faire briller leur propre étoile. 😀

  25. Willy Bomisso says:

    Merci beaucoup Jean-Phillipe,c’est vraiment remontant et en plus j’ai adoré cette idée “une étoile vit en nous,et plus on pleure,plus elle s’éteint”.

  26. Jean-Philippe says:

    C’est à moi de te remercier Willy ! Ton œil “acéré” a découvert une citation que je n’avais pas remarqué. Merci pour ça. 😉

  27. sarah D says:

    Trouver sa propre étoile. Deux personnes identiques trouvent en elles une étoile différente et donc une manière de voir la réussite différemment. Mais au fond, peu importe ce que l’étoile est bonne à faire. Elle est juste présente. Et quand on la découvre, elle jaillit en nous comme une évidence, une magie, une source !

    • Merci Sarah ! Oui, une très belle vision des choses. Pour certain(e)s c’est difficile de faire jaillir cette étoile et pourtant, elle est là… toujours ! 🙂

  28. isabelle says:

    Formidable article plein d’espoir ! merci beaucoup !
    je le partage sur mon site ami des étoiles :)))
    Chaleureusement,
    Isabelle.

    • Merci beaucoup Isabelle ! Ah tiens, alors, toi aussi tu as la tête dans les étoiles ? Allez, en avant, cette ou ces étoiles sont toujours là, prête à nous soutenir, à tout moment de la vie, car il n’y a pas d’age pour les faire briller. 😉

      Comme disait Samuel Ullman : “Les années rident la peau. Renoncer à son idéal ride l’âme.”

      PS : Merci pour le lien 😉

  29. Yass' says:

    J’ai commencé à lire le premier article et de fil en aiguille j’ai tout lu. J’y ai passé la soirée, mais je ne regrette vraiment pas.

    Merci pour cette longue série d’articles, c’était réellement passionnant et motivant. Je les ferai surement lire à mes proches.

    Et merci pour le travail que vous faites, j’espère que vous aurez toujours cette belle plume 😉

    • Merci beaucoup pour les compliments Yass’ !

      Tout lu ? Là je suis impressionné ! Et merci de les faire lire à d’autres, car je crois que c’est ainsi – par le partage – que l’on commence à grandir dans la vie. Bonne continuation. 😉

  30. Il faut juste vouloir,car vouloir est la solution

  31. Kakumbwa says:

    je suis contant de cet article,je serai ravi de lire une fois de plus ce dernier.

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