Une solution contre la paresse et la procrastination

Vaincre la paresse !

Vous la connaissez bien.

Avant, on appelait ça la paresse. D’autres disaient que c’était de la fainéantise, de la flemme, de l’oisiveté. Maintenant, ça fait mieux de dire “procrastination”, c’est plus technique, moins personnel.

Mais cela ne veut pas dire qu’on y échappe.

Les règles restent les mêmes.

Tous et toutes, nous devons constamment lutter contre elle.

Et souvent la bataille est inégale.

D’où nos rechutes, d’où nos projets inachevés, abandonnés, poussés sur le côté. D’où ce sentiment de culpabilité qui peut nous poursuivre tout au long de notre vie.

Pourtant, on peut vaincre cet état de fait. Mais il faut se battre.

Êtes-vous prêt à affronter l’ennemi ?

Avez-vous des tripes ?

D’où vient la procrastination ?

Penchez-vous sur votre passé, regardez les quelques années qui viennent de passer et rappelez-vous : quels sont les matins où vous n’avez eu aucun problème pour vous lever ? Pour bondir hors du lit sans attendre que le réveil ne sonne ?

Vous aviez une motivation, une bonne raison, quelque chose qui vous titillait et qui vous poussait à vous réveiller sans problème. Je ne vous apprends rien en vous disant cela mais, je voulais être certain avant de continuer que vous comprenez bien que vous n’êtes pas un être à part, un être “maudit”.

Tout le monde peut se lever le matin. Il faut juste trouver une bonne raison.

Mais ça, je ne peux pas le faire pour vous. Vous êtes seul avec vous-même, face à votre miroir à vous poser la question.

Normalement, nous savons ce que nous voulons faire. Nous avons des idées, des projets, des envies. 🙂

Ce n’est pas ça qui fait peur. C’est après. C’est le moment où l’on s’engage et où l’on sait que l’on ira pas jusqu’au bout. Pourquoi ? Parce que dans le passé, on a déjà eu ce même problème : partir sur les chapeaux de roues pour ensuite abandonner.

Heureusement, il y a des remèdes. 😉

Origine du problème

Je le répète : nous sommes tous et toutes logés à la même enseigne.

Tous nous avons des projets et tous nous avons des doutes. Cependant, certains parmi nous réussissent à aller jusqu’au bout de leur défi. Car c’est bien un défi que nous nous lançons. Ce n’est pas un devoir à rendre, comme à l’école. Ce n’est pas un petit test ou un examen. Ce n’est pas un rapport à rendre à son patron.

Non là, le boss, c’est nous ! Nous devons rendre des comptes à nous-même et c’est à cet endroit que le bât blesse. Ça, on ne sait pas faire, personne ne nous a appris à nous gérer, surtout pas pendant notre scolarité où tout notre enseignement a consisté à apprendre à devenir de bons petits soldats.

Alors, tant que quelqu’un nous donne un ordre, tant qu’une date butoir nous est imposée, on s’en sort plus ou moins bien. Plutôt “moins” que “bien” d’ailleurs puisque ce sont des choses à faire qui ne nous passionnent pas réellement.

Mais personne ne nous a appris à gérer un projet en solitaire. Pas un prof ne nous a expliqué les clefs de cette gestion. Rarement un parent, un mentor ou un ami ne nous a fait passer par un entrainement conséquent afin que nous soyons adéquatement préparés pour ces challenges.

Alors nous échouons. Nous chutons lamentablement. C’est comme si on offrait à un bébé un vélo. Il va apercevoir autour de lui des gens qui roulent sur deux roues sans problème. Alors bien sûr, il va vouloir faire de même. Évidemment, parce qu’il ne sait pas encore marcher, il n’arrivera pas à utiliser sa bicyclette. Il faut qu’il apprenne les choses dans l’ordre : d’abord tenir en équilibre sur deux pieds et ensuite tenter la grande aventure du vélo.

Et il aura des guides : ses parents.

L’oisiveté est solitaire

Une fois devenu adulte, il est hors de question de demander de l’aide. Nous sommes “grands”, nous sommes supposés “savoir”, alors… appeler au secours ? Vous plaisantez ! Surtout pour quelque chose de personnel, qui n’est imposé par personne.

Dans un ebook sorti récemment, Do the Work, l’écrivain américain Steven Pressfield compare nos challenges à la pression qui est imposé aux Navy Seals. Ces-derniers sont les troupes d’élite les plus performantes de toute l’armée US, pouvant faire face à n’importe quelle situation, subir n’importe quelle pression, sans jamais faiblir.

La seule différence entre eux et nous, poursuit-il, c’est que les Navy Seals forment une équipe. Ils soutiennent. Ils sont ensemble dans la galère.

Et c’est ce qui fait toute la différence.

Y aller tout seul ou seule, cela signifie se mettre une énorme pression sur les épaules sans recevoir aucun soutien, conseil ou opinion.

C’est pratiquement suicidaire surtout si on ne l’a jamais fait auparavant. C’est comme lancer un appel à la paresse.

Et c’est pour ça que nous chutons encore et encore. C’est pour ça que nous finissons par avoir peur de tenter quoi que ce soit. Parce que chaque chute fait mal et nous donne de moins en moins envie de recommencer.

Jusqu’à finalement abandonner pour de bon et ne plus jamais rien tenter.

On regarde alors la vie nous passer sur le côté.

Quel gâchis !

Cela me fait mal au cœur. Réellement. Pour moi. Pour vous. Pour l’humanité. Pour nos enfants qui ne pourront pas bénéficier de vos créations que vous n’aurez pas été créées.

C’est pour ça que Cloudbraining existe.

Vaincre la paresse

Et là, je suis sincère.

Je me suis demandé, qu’est-ce que je pourrais faire pour m’aider et aider les autres ? Mes lectures m’ont fait très vite comprendre qu’il fallait trouver un système de soutien comme chez les Navy Seals, avec des règles, des manuels, des aides claires pour faire face à la démotivation et à la pression.

C’est ainsi que Cloudbraining est né.

Je n’ai rien inventé de génial. Ce système existe déjà sous différentes formes mais je voulais quelque chose qui soit facile d’accès.

Je voulais qu’il soit le plus simple possible sans être trop contraignant. Ainsi, au mois de février dernier, le premier groupe de “cloudbraineurs” a essuyé les plâtres de ce système. Je leur dois une fière chandelle car ils ont été assez courageux pour me suivre, se lancer vers leur objectif et ensuite me donner leur feedback afin d’améliorer la formule.

Ma fierté : de tous les inscrits, un seul n’a pas atteint la ligne d’arrivée, les fameux 30 jours de travail sur un seul projet.

C’est un signe non ? Cela veut dire que bien encadré – mais pas trop – pendant 30 jours consécutifs, on peut à son rythme, avancer dans un projet, commencer ou tester une nouvelle habitude, finir un dossier qui traîne. Je garde un souvenir très ému, de nos batailles, de nos luttes, de nos succès, de nos conversations en conférences vidéos pour nous soutenir.

Arrivés d’horizons complètement différents, nous garderons dans notre mémoire le souvenir de chaque membre. Pourquoi ? Parce que nous avons partagé les mêmes batailles, des évènements forts, intenses.

Et même si nos projets n’étaient pas de révolutionner le monde, le fait de les partager avec d’autres êtres humains pendant ces 30 journées, nous a rapproché.

D’ailleurs, pour vaincre votre procrastination, si vous vous inscrivez pour le prochain challenge, vous retrouverez certains d’entre eux, déjà prêts dans les starting-blocks, avec un nouveau challenge tout frais, tout neuf.

Ce n’est pas étonnant, parce qu’une fois qu’on a goûté au plaisir de réellement avancer dans ses projets et de franchir la ligne d’arrivée, on a qu’une seule envie : recommencer. 🙂

Alors, est-ce que vous avez les tripes ?

Si oui, ça se passe ici. 🙂

(Photo : TuTuWoN)

Commentaires

44 commentaires pour “Une solution contre la paresse et la procrastination”
  1. amine says:

    dudur dur de sortir de la procrastination quand elle nous tien,les mauvaises habitudes sont dur a chassés,vivement le Cloudbraining ,a la facons dont t’en parle ,on a envie de s’inscrir.

  2. Jean-Philippe says:

    Merci amine pour ton commentaire ! C’est vrai qu’elle nous tient et on ne peut pas s’en débarrasser d’un seul coup. Mais petit à petit, très simplement, on peut mettre en place un système qui nous aide. C’est ce que nous faisons au sein de Cloudbraining. 😉

  3. kaltoum says:

    Bonjour Jean Philippe,

    Oui j’ai les tripes lol.

    Mais cela se passe ou? 🙂 Le lien ne mène pas là où les choses se passent :D.

    Kaltoum

  4. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup Kaltoum pour l’info et ton humour ! Ça y est tout est arrangé et maintenant tu peux laisser parler tes tripes. 😉

  5. Alban says:

    Ah j’aime beaucoup Steven Pressfield aussi. Je n’ai pas lu cet ebook, mais la comparaison avec l’esprit d’équipe des Navy Seals est tout à fait vraie.

    J’ai eu la chance de faire partie du premier groupe Cloudbraining est c’est clair que l’esprit d’entraide entre les membres du groupe et les encouragements de Jean-Philippe ont fait une différence phénoménale pour réussir mon challenge personnel. C’était une super expérience, et en comparaison, tenter un projet seul sans soutien rend les choses bien plus difficile.

  6. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup Alban pour ton “Seal of approval” ! et de partager ton expérience passée avec Cloudbraining. 🙂

    PS : Je suppose que tu as lu The War of Art de Pressfield ? 😉

  7. Mestizaje says:

    Bonjour Jean-Philippe !
    Ce challenge Cloudbraining m’a l’air passionnant… Seulement voila, je n’ai pas (aujourd’hui!) de projet qui me semble adapté à ce challenge sur 30 jours !
    Corrige-moi si je me trompe mais ça m’a l’air parfaitement adapté à quelqu’un qui voudrait lancer son entreprise, planifier un tour du monde… Un peu moins à quelqu’un qui, comme moi, initie de petits changements mineurs dans sa vie (faire 2 séances de sport par semaine, diminuer le nombre de fast-food dans le mois et arrêter de râler à tout propos !)
    En tous cas, je trouve l’idée brillante et le jour où je voudrais lancer mon entreprise (car il viendra), je serais ravie de pouvoir bénéficier d’un tel groupe de soutien s’il est encore en place !
    Et j’en profite pour te dire bravo et merci car ton blog et ces différentes initiatives témoignent vraiment d’une volonté sincère d’aider les autres; de manière désintéressée, et je trouve cela vraiment rare et appréciable.
    Bon courage à tous ceux qui se lancent dans de beaux projets…

    • Joce C says:

      Et bien moi je lutte chaque jour toute seule….et je n’y arrive pas enfin presque pas. Un beau projet à mettre en route qui correspond à ce que j’ai toujours voulu faire et je procrastine, me défile, n’avance pas pour finir par culpabiliser…. Donc si la solution, c’est cesser d’être seule avec çà, je vais tenter

      • Oui Joce ! L’isolement est dangereux parce que l’on a tendance à plus facilement à se critiquer et à procrastiner. Va à la rencontre d’amis ou de personnes positives, même si elles n’ont aucun rapport avec ton projet. 😉

        Et bonne chance !

  8. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup pour tes encouragements Mestizaje ! Si tu vas sur la page de Cloudbraining, en bas, il y a des exemples de challenges que ce sont lancés les membres. Tu y verras qu’il y a des objectifs très courts, parfaitement négociables sur 30 jours. Cela peut aussi être l’occasion de tester une nouvelle habitude pendant un mois et après, soit de la garder, soit de l’abandonner.

    Maintenant, comme je le disais, c’est une question de “tripes” parce que c’est un véritable défi qu’on se lance à soi-même. Mais sur 30 jours c’est parfaitement gérable. 😉

    PS : Il faudra que je revoie ma communication. Je voulais vraiment axer Cloudbraining sur les challenges courts. 😀

    PPS : Oui je veux vraiment aider les autres et en même temps, gagner ma vie. Quoi de plus beau ? 🙂

  9. Didier S says:

    ENFIN quelqu’un qui reconnait que la procrastination est le nouvel avatar de cette bonne vieille flemme qu’on connait tous. J’arrive globalement à me motiver mais je vais aller jeter un oeil. Merci pour les efforts fournis 😉

  10. Jean-Philippe says:

    Merci beaucoup Didier pour ton commentaire ! A chaque époque sa dénomination mais la procrastination a toujours existé. Dans le passé, on utilisait des méthodes plutôt “brutales” pour la combattre, ce qui est toujours le cas avec le principe du salaire pour le travail effectué.

    Heureusement, on se rend compte maintenant qu’il y a d’autres moyens d’arriver à être productif sans être constamment à la course au profit. Car le bien-être, ce n’est pas uniquement la quantité mais aussi la qualité. 🙂

  11. “Avant, on appelait ça la paresse. D’autres disaient que c’était de la fainéantise, de la flemme, de l’oisiveté. Maintenant, ça fait mieux de dire “procrastination”, c’est plus technique, moins personnel.” : Ah, tu vois que toi aussi tu prends certaines distances avec la mouvance du développement personnel. Les mots, ça compte aussi ; au tout début était le verbe… (Soit dit en totu athéisme). 😉 😉

  12. Elie says:

    Bonjour Jean-Philippe,

    Bravo pour votre article qui m’est très parlant. En se dirigeant pas à pas vers ses objectifs, ils ont plus de chance de s’accomplir.

    J’apprécie mieux l’emploi du terme “procrastination” plutôt que “paresse”, qui est plus technique comme vous le dites.

    Sinon, à propos du projet Cloudbraining, y a-t-il un âge minimum ? J’ai bien conscience que je suis jeune pour ça, mais je souhaiterai tout de même en savoir plus.

  13. Jean-Philippe says:

    @Matt Tu sais, c’est comme dans tout, il y en a qui poussent un peu trop. Amen ! 😉

    @Elie Non, il n’y a pas pas d’age minimum mais si tu as moins de 18 ans, tes parents doivent me donner par email leur accord à ta participation. Mais quels parents refuseraient face à cette envie de mieux se comprendre ? 🙂

  14. Bonjour ! dis moi, cloudbraining ,sera relancé pour une cession en septembre .
    Parceque sur juin juillet apout je suis par monts et vaux !
    Bien vu ce soutien . bravo
    Isabelle

  15. Jean-Philippe says:

    Merci Isabelle ! Oui normalement un autre challenge est prévu en septembre. Alors bon voyage. 😉

  16. Poleon says:

    Ma méthode anti-procrastination : Le sport.

    Au matin à 7h, je bondis de mon lit (enfin ça ça dépend des jours :p), qu’on soit en été ou en hiver, je sors courir environ une heure, et après, je me sent peut-être épuisé physiquement, mais je suis prêt à me plonger dans quel que soit le travail.

    Et vers 4heures, quand la concentration s’en va, de nouveau, je me fais un petit footing, de la muscu ou stretching et hop je suis de nouveau opérationnel pour quelques heures de travail intense. Vers 9h, ma concentration chute de nouveau, mais après une bonne douche ça revient, je suis encore capable de travailler jusqu’à une heure, et puis je fais un bon dodo bien profond… 🙂

    J’ai eu une période pendant laquelle j’ai arrêté complètement le sport (3ans !) et je me suis jamais senti aussi mou et fatigué de ma vie. Et quand je ne l’étais pas, je passais mon temps à rêvasser (“day dream”), et je perdais ma concentration au bout de 10 minutes. Et finalement j’en avais marre et je procrastinais.

    2 heures de sport par jour, c’est ce qui m’as permis de me reprendre en main, et je ne me suis jamais senti aussi productif depuis 🙂

  17. Poleon says:

    Je viens de tomber la dessus par hasard, et cela confirme entièrement mes dires !

    http://www.education.gov.qa/research/samples/Enjoy.pdf

    “After analyzing all the information we’ve collected through observations,
    questionnaires and interviews…briefly, what we concluded was that
    physical exercising before the lesson improves the student’s motivation in
    the classroom in a very noticeable way”

    “Exercise has been touted to do everything from treat depression to
    improve memory, with the power to cure a host of problems while
    preventing even more.”

    Comme quoi, le sport peut être une solution miracle à bien des problèmes.

  18. Artus says:

    Merci JP pour ce bel article. C’est à chaque fois aussi enrichissant !
    Petit conseil pour ceux qui possèdent un iPhone : l’application Daily deeds, gratuite, toute simple.
    On ajoute une habitude que l’on souhaite prendre, et l’application nous rappelle discrètement chaque jour ce que l’on doit faire… Jusqu’à ce qu’on coche le jour actuel.
    Après, on peut envoyer ses résultats (des 30 derniers jours) par email. Simple, efficace !

    http://itunes.apple.com/fr/app/daily-deeds/id358401617?mt=8

  19. fouza says:

    bjr
    vraiment je veux sortir de ma paresse pour être en bonne forme pour ma petite fille (1 an). après mon marriage je suis devenue paresseuse et mon etat s’est enpiré après l accouchement et les mois d’alletement. aidez-moi pour me relever une nouvelle fois.
    merci infiniment

  20. Fatoumata says:

    Bjur je veut tellement me débarrasse de cette mais je ne ses comment. Et pourtant j’ennais que 20ans mais je vie po avec mes parent biologique je manqu de courage et d’encouragement aide moi slvp.

  21. 5 clés says:

    Bonjour
    J’ai aimé lire vos articles et je suis en formation pour vaincre la procrastination.
    Je vous souhaite le meilleurs pour votre blog et bonne chance pour
    le cloudbraining
    Cordialement Yannick

  22. Alex says:

    Quand je lis cet article je me rend compte que je suis pas tout seul

    • Eh oui Alex ! Cette réalisation est importante car elle permet de comprendre que les autres sont comme nous ! et s’ils réussissent à avancer, c’est que nous le pouvons aussi. Alors, en avant ! 😉

  23. Romy says:

    Est-il trop tard pour rejoindre ce groupe d’entraide ? dois-je attendre le mois prochain ?
    la surmotivation qui anime mes idées fugurantes est à la hauteur/démesure de l’inaction qui s’en suit ! help !!

    • Merci Romy pour ta question ! Oui, il fut attendre un peu pour pouvoir te lancer (enfin, si tu peux attendre). On se (re)lance au mois de mars. Pour être tenue au courant, abonne-toi à la newsletter de Cloudbraining. 😉

      PS : En attendant, note toutes tes idées quelque part pour ne pas les oublier et soulager ton esprit…

  24. sawmoun says:

    Bonsoir. Merci bien de me rassurer de n’être pa seul dans la situation et surtout de proposer des voies de sorties.

  25. Ogsisko says:

    J’ai la flemme de tout lire , j’ai même la flemme d’ecri

  26. Ogsisko says:

    J’ai la flemme de tout lire, j’ai même la flemme d’ecri

  27. pacis ornella says:

    bjr J.Philip.je cherhais un article qui pourrais m’aider à vaincre la procrastination et j’ai tombé sur le tien.je vois que tu l’a ecri en 2011 et mm les comentair sont de 2011.je sui excitée à l’idée d’avoir un soutien ds mes projets pack j’en ai vrmt marr de toujours abandonner.seulement,on est en 2015 et je me demandais si vous continuez ce projet de soutien pr que je me lance.mrci

    • Désolé Ornella, ce projet est maintenant terminé mais tu trouveras sur le web plein d’autres solutions. De toute façon, tu es plus forte que tu ne le penses… 😉

  28. gilvano says:

    Vrmt je meurs d’envie de sortir de la procrastination

  29. Claudie says:

    Est-ce que c’est un groupe Facebook?

  30. Georgia says:

    Comment aider une personne très proche qui souffre de la paresse.. je pense pour son cas. Il absolument une thérapie. Car je crois soit vraiment malade. D elle même elle ne pourra pas s en sortir. Merci d avance pour vos conseils.. Georgia

    • A mon avis, j’aurai beau vous donner tous les conseils du monde, si cette personne n’est pas décidée… il n’y aura rien à faire. Le déclic doit se produire dans sa tête d’abord. Cela viendra, surtout si on ne lui met pas de pression et on la dirige vers des activités qu’elle apprécie. 😉

    • Merci Georgia pour votre commentaire. Je ne pense pas que vous pourrez l’aider si cette personne ne veut pas que vous l’aidiez. La décision lui appartient mais cela ne vous empêche pas d’être présente et d’avoir de la compassion pour elle. Un jour, le déclic se fera, c’est certain. 😉

  31. sasha says:

    je suis juste flemmarde et j’aimerais bien changer car vraiment ça me bouffe la vie, si je povais choisir UN trait de caractère à modifier ce serait celui là et je trouverai bien comment me débrouiller du reste !
    et effectivement je vais tout dans mon coin plutot crever que de demander de l’aide le peu de fois où je l’ai fait je ne me sentais guère avancée quand on ne m’envoyait pas promener ou qu’on ne me plantait pas là, d’ailleurs. c’est au college que j’aurais du en prendre l’habtude quand on pouvait apsser voir le prof après le cours si on n’avait pas compris quelque chose ou réviser avec des camarades.
    sinon j’essaie de faire les chose progressivement, un peu chaque jour même presque rien, sans me demander si j’ai envie de le faire, en mode pilotage auto, sinon à contempler la montagne de “to do” je suis écrasée par la flemme pour sûr :p !
    le pire pour le flemmard est biend e se rendre cpmpte qu’il est en train de faire quelque chose ou pire de travailler, haha ! en fait ce n’est pas l’effort en soi qui me fait fuir mais l’ennui ou la pénibilité (comme un coup de fil à donner par exemple, j’en frémis, brrr), et alors plus ça demande de patience plus c’est chiant.

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